Un "droit de correction" qui pose question. Jeudi 18 avril, la cour d'appel de Metz (Moselle) a pris une décision qui interpelle autant qu'elle scandalise. Yves Milla, un ancien major de la police aux frontières (PAF) poursuivi pour des violences sur son ex-femme et ses enfants, a été relaxé des faits qui lui sont reprochés. ️
Citation :
"droit de correction" qui serait "reconnu aux parents et autorise actuellement le juge pénal à renoncer à sanctionner les auteurs de violences dès lors que celles-ci n'ont pas causé un dommage à l'enfant, qu'elles restent proportionnées au manquement commis et qu’elles ne présentent pas de caractère humiliant"
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : Alors là, c'est du grand n'importe quoi !!!! On parle de "droit de correction" en plein 2024 ? Ça veut dire qu'on peut taper sur nos gosses tant qu'ils ont pas de bleus ? C'est complètement fou ! Comment on peut justifier ça, sérieux ? On est en train de reculer dans le temps ou quoi ? Je me demande comment on peut encore débattre de trucs pareils en pleine ère de sensibilisation à la violence et aux droits des enfants. Et vous, qu'en pensez-vous ?
Reste à savoir précisément ce que l'on entend par correction et ce qui s'est réellement passé on en fait un peu trop en ce moment, et bien sûr on doit surtout proscrire la violence notamment sur enfant, mais il faudrait connaître vraiment ce qui s'est passé ... il y a maltraiter un enfant, et il y a donner un tape sur les fesses par exemple, pour moi ça n'a rien à voir !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], idem pour moi. C'est quoi la correction apportée par ce major ?
Je fais juste un résumé des choses, on parle souvent ici du devoir des parents d'éduquer leurs enfants. Pour une fois qu'un gars le fait et mets quelques claques à un gamin ; alors que tout le monde ici est d'accord (enfin presque), cela serait mal venu de dire maintenant le contraire.
Ensuite, effectivement, s'il sort la ceinture contre les enfants ou son épouse pour rien, c'est une autre affaire et il faut qu'il paye pour ses actes.
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Oui effectivement en 2024 on a largement le droit de parler de "correction" ou faut-il refaire une liste ou les prétendus "gosse" - de 16 ans massacre, viole, tue à coup de pied, de poing et de couteau, alors oui cette prétendu "sensibilisation à la violence des enfants" à complètement foiré, il y eu des excès, c'est vrais, mais les Lois des bobos ont eu l'effet contraire. Preuve en ait (l'actualité Quotidienne) (Intéressante émission tard dans la nuit hier soir (sur la cinq))
Suite de l'histoire. Témoignage de l'ex-femme de l'incriminé (qui devait être bien couvert par qui-de-droit) : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
La relaxe d'un policier accusé de violences familiales peut légitimement remettre en question l'équité et la transparence du traitement des affaires impliquant des représentants de l'application de la loi. Il est crucial que tous les individus soient traités de manière équitable devant la justice, indépendamment de leur profession, et que les procédures judiciaires soient transparentes pour maintenir la confiance du public dans le système judiciaire.
Hier à 23:16 par 
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On parle de "droit de correction" en plein 2024 ? Ça veut dire qu'on peut taper sur nos gosses tant qu'ils ont pas de bleus ? C'est complètement fou ! Comment on peut justifier ça, sérieux ? On est en train de reculer dans le temps ou quoi ? Je me demande comment on peut encore débattre de trucs pareils en pleine ère de sensibilisation à la violence et aux droits des enfants. Et vous, qu'en pensez-vous ?
on en fait un peu trop en ce moment, et bien sûr on doit surtout proscrire la violence notamment sur enfant, mais il faudrait connaître vraiment ce qui s'est passé ... il y a maltraiter un enfant, et il y a donner un tape sur les fesses par exemple, pour moi ça n'a rien à voir !
