A partir du 20 novembre, le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) lance une campagne de sensibilisation à l'impact sur les enfants et les adolescents des programmes audiovisuels violents ou choquants. Plus radical, faut-il bannir les images violentes à certaines heures?
"Les images choquantes, on doit les éviter, sinon il faut en parler". C’est l’un des slogans de la nouvelle campagne du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). En effet, la haute autorité lance une campagne de sensibilisation à l'impact sur les enfants et les adolescents des programmes audiovisuels violents ou choquants. Diffusée du 20 novembre au 10 décembre sur l'ensemble des chaînes de télévision, cette campagne veut inciter les adultes à "contrôler au mieux la consommation audiovisuelle des enfants" et "encourager le dialogue intergénérationnel".
Parler avec son enfant demeure la meilleure méthode pour éviter un traumatisme comme l'explique le psychiatre Serge Tisseron dans Bourdin Direct : "Il ne faut pas que les parents se disent 'si mon enfant est choqué, c'est à lui de me poser une question'. Non. Un enfant choqué a plutôt tendance à se replier sur lui-même et dans le pire des cas à se dire qu'il ne faut pas le montrer de peur de passer pour un bébé. "
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En temps qu'éducateur,il est déconseiller de tolérer aux enfants de suivre le journal télévisé, et pour la simple raison ,que certaines séquences de guerre,de banditisme ,accidents mortels ect influent sur le psychique de l'enfant.Les enfants sont réfractaires ,il est souhaitable de les laisser dans leur petit monde.L'expérience aurait démontré que l'enfant qui est choqué par une scène à la télévision, fait des cauchemars et mouille souvent son lit.Donc il vaut mieux prévenir ,que de guérir.
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