Doit-on supprimer les notes à l'école ?

Un rapport remis à Najat Vallaud Belkacem vendredi 13 février 2015 préconise la suppression des notes jusqu'en 6e. En novembre 2014, un premier rapport du Conseil supérieur des programmes arrivait à des conclusions semblables, prônant la fin des moyennes, des coefficients et le remplacement des notes par un barème de 4 à 6 niveaux.
La ministre de l'éducation nationale a désormais toutes les cartes en main pour faire avancer le chantier de l'évaluation des élèves. Mais la suppression des notes reste un sujet clivant, pour les professeurs, les parents et la classe politique.

Que pensez-vous de l'efficacité pédagogique du système actuel de notation ?

Et faut-il, selon vous, le réformer jusqu'à supprimer la notation des élèves ?

pour moi le système de couleur est NUL !!!

mon fils de 7 ans a une maitresse qui utilise encore les notes, mon fils s'est ou il en est et il se trouve, ça le pousse a travailler plus s'il voit que ses notes baissent

et ma fille de 9 ans a un prof qui utilise la méthode de couleur, 3 couleurs : vert  c'est acquis, orange c'est en cours d'acquisition et rouge n'est pas su
et bien elle ne sait jamais quand elle ramène une évaluation avec du rouge si elle a 0/20 ou 9/20, elle pense juste qu'elle est nulle ... c'est triste je trouve, elle ne sait pas ou elle en ai

je préfère garder le système de notation... en tant que daltonien c'est pas du tout pratique,
sans compter que si quelqu'un du corps enseignant est justement daltonien cela risque de créer beaucoup de confusions.

Moi en temps qu'ancien homme de l’éducation nationale,je suis pour le classement et surtout la notation.L'élève pour se situer il doit être évalué par des notes qui reflèteront sa juste valeur.Dans l'ancien tempos,on distribuait et des bon points ,et des images,et des notes,et des mentions, des tableaux d'honneurs, et parfois même des cadeaux.L'(émulation a toujours donné ses fruits,dommage les systèmes pédagogiques sont de certains pays y compris l’Algérie et la France sont malades et les générations montantes en seront les victimes.